« Avoir de l'eau propre à boire après s'être vus comme des fauves, pouvoir se débarbouiller, pouvoir se déchausser»
(Réne Pigeard, le 27 aôut 1916)
La vie en deuxième ligne
« La soupe sur un feu improvisé,la toilette en plein air, dans un seau: n'est-ce pas là encore quelques bonnes heures!»(Maurice Maréchal, le 12 aôut 1916)
«Nous sommes toujours à l'arrière dans le camp de Chalons, et nous avons bien besoin de ce repos, car les quinze jours que nous avons passé à Verdun nous ont fatigués et démoralisés.»
(Julien Christol, le 18 avril 1916